“Redécouvert” au cours de la décennie écoulée pour ses travaux les plus expérimentaux, le Serbe Mitar Subotić avait, avec son alias Suba, tenté la grande aventure de la musique lounge de la fin des 90s. Mais une lounge très personnelle, mitée par la noirceur et l’urgence de São Paulo, ville d’adoption de Subotić, entre saudade et capitalisme tardif.