Maxime Bisson nous fait découvrir aujourd’hui le disque d’un pionnier malgré lui du punk chilien, mené par son piano et sa mélancolie, et sorti en 1977.
Glow On de Turnstile entre dans sa huitième semaine et nous pose cette question aussi débile que ceux qui refusent de les écouter.
Julie Ackermann est littéralement ravie face aux interrogations mélodramatiques d’un duo suédois qui compose de la trance comme Christopher Nolan réalise des blockbusters critiques.
Marc-Aurèle Baly pense que les performances bruitistes et synthétiques de ce duo comptent parmi plus belles choses à entendre en France en ce moment, mais que ce n’est pas une raison pour faire de ses auteurs d’insupportables Grands Monsieurs de la musique.
La deuxième ville suédoise est en train de devenir la plaque tournante de la pop concrètement indie, celle que personne n’écoute ou presque, à basse fidélité et à haute intensité. Hervé Loncan nous parle d’un de ses plus fiers représentants, JJ Ulius ou JJULIUS, qui est aussi la moitié de Monokultur (mais qui n’est pas du tout un alias de SCH).
World-metal béarnais, blackgaze, résurgences thrash ou Oi!, et même quelques riffs sous dubstep : la France du metal est toujours bien portante grâce à Dirge, Fléau, Grorr, Nature Morte, Intraveineuse et Violence.
Groupe inconnu de son vivant, au début des seventies, les electrics eels ont par la suite été qualifiés malgré eux d’inventeurs du punk. Créateur de nombreux fanzines, Alex Ratcharge nous dit pourquoi c’est débile de parler d’eux en ces termes, mais pourquoi il faut quand même absolument les écouter.
Musique Journal n’avait jusqu’ici jamais vraiment parlé de metal. Alors aujourd’hui Rod Glacial règle le problème en recommandant cinq sorties françaises. Ça va du metal hardcore de Worst Doubt au metal synthétique de Perturbator en passant par le BM de Seth et le doom/sludge de Demande à la poussière. En résumé : un vrai confinement dans le confinement.