Tel un Steven Spielberg caribéen, Loic achève aujourd’hui sa lettre d’amour au lovers rock en sélectionnant ses morceaux d’Aisha, chanteuse anglaise affiliée depuis des décennies au label Ariwa de Mad Professor.
Après une petite semaine sabbatique et un jour férié, voici aujourd’hui deux perles audiovisuelles jamaïcaines, excavées sur YouTube, qui donnent envie de faire la fête « comme avant ».
Avec le label I Grade, le groupe Midnite a mis les îles Vierges américaines sur la carte du reggae roots, jusqu’à en devenir un mètre étalon dans les années 2000. On écoute aujourd’hui l’admirable voix de feu son chanteur Vaughn Benjamin sur leur album Rule The Time, à la production somptueuse.
De quelles « racines » parle-t-on exactement quand on évoque le reggae « roots » ? Maïssa Daoudi semble y deviner un phénomène à la fois historique et minéral, qu’elle entend résonner, dans le deuxième album du trio Culture, depuis les profondeurs telluriques.
Alors que Tonton David nous a quittés il y a peu, nous vous recommandons aujourd’hui le premier album de son ami Pablo Master : un trésor du reggae français sorti en 1987 et produit par une sommité du dub britannique.
Ce matin, nous vous proposons de découvrir ou redécouvrir quelques productions de Harry Mudie, producteur de reggae amoureux des arrangements pour cordes, qui travaillait entre autres avec King Tubby, John Holt ou Gladstone Anderson.
Songwriteuse pour la Motown et moitié d’Ashford & Simpson, Valerie Simpson a sorti en 1972 un morceau génial, mais dont les textes ne lui ressemblaient pas du tout. Et puis il est devenu un petit classique en Jamaïque.