Philippe Llewelyn ouvre aujourd’hui une série intitulée « ÉCOFICTIONS » autour du concept (complexe) de nature tel que l’explore la musique électronique récente. Il démarre avec Ecologies du Lituanien J.G. Biberkopf, qui a décidé de pas choisir entre nature et culture pour préférer les fondre ensemble, et faire s’entrechoquer mondes digitaux, mécaniques et naturels.
Julie Ackermann est littéralement ravie face aux interrogations mélodramatiques d’un duo suédois qui compose de la trance comme Christopher Nolan réalise des blockbusters critiques.
Pop mexico-américaine et fait divers tragique : voici l’histoire de Selena, la reine défunte de la musique tejano.
Dernier volet de la série de Victor Dermenghem consacrée aux classiques oubliés de l’Internet music des années 10 : il y est aujourd’hui question de Magic Fades et de leur album Obsession, disque dont la fausse légèreté RnB annonce en partie la rupture qui va marquer la scène au milieu de la décennie.
Quatrième épisode de la rétrospective de Victor Dermenghem consacrée aux classiques oubliés de l’Internet club music des années 10. Aujourd’hui, on va suivre Le1f, figure du rap queer, dans sa Fly Zone, sortie en 2013.
Victor Dermenghem poursuit son exploration des « lost classics » de l’Internet club music des années 10 et nous parle aujourd’hui d’un disque fondateur du post-grime : That’s Harakiri de l’Américain Sd Laika.
Aujourd’hui Musique Journal se transforme en Gala meets Faites entrer l’accusé avec l’histoire d’un couple de chanteurs au destin funeste : Nina & Frederik.
Victor Dermenghem reprend ce qui devait au départ être un article en deux parties pour en faire une série en cinq épisodes, sur la scène dite « post-club » ou « Internet club ». Il continue de s’y intéresser à des disques un peu perdus en cours de décennie : aujourd’hui, il est question du EP hybrid de l’Américain Sentinl*.
On entame la semaine avec un retour tardif mais salutaire sur une décennie de musique dite post-club, ou deconstructed club, par notre ami Victor Dermenghem, qui nous gratifie d’une sélection de quelques disques pionniers, mais aujourd’hui un peu oubliés parmi cette vaste galaxie digitale.
Au delà du gros hit « Teardrops », le duo soul des années 80 avait enregistré aux Compass Studios un album un peu oublié en 1988. Un disque dont l’apparente fadeur cache des merveilles d’écriture et de bouleversantes nappes de synthé.
Pour finir la semaine, direction Lima, au Pérou, pour y découvrir la princesse du folklore local, Alicia Delgado, et vous raconter au passages trois histoires pas très drôles mais néanmoins fascinantes.
Aujourd’hui, Maxime Jacob nous parle d’un classique ignoré de la house de Chicago, de l’obscure histoire de son auteur Joe Lewis, et du révisionnisme bisounours qui caractérise certains fans de dance music originelle.