Benjamin Leclerc aka Belec nous apprend aujourd’hui que depuis plusieurs années, la jeunesse tahitienne danse au son du Deck, un genre musical né d’une hybridation inattendue du moombahton, croisée aux traditions polynésiennes comme à des influences makina, brostep et antillaises. Nouvelle preuve que l’avant-garde de la dance music française se situe outre-mer.
Victor Taranne nous présente aujourd’hui le jeune label Tra Tra Trax, basé à Medellín, qui défend une conception impure du reggaeton, propre à déjouer les attentes du public occidental et à défendre la « désidentification » des codes esthétiques.
Sortie il y a six mois, la généreuse compilation du label français Promesses livre une série de grisants instantanés de la club music mondiale.
Nous vous parlions récemment de la scène amapiano qui domine en ce moment la house d’Afrique du Sud, mais nous revenons aujourd’hui sur les productions de DJ Sdunkero, qui voici une dizaine d’années inventait au Nord-Est du pays une house commerciale, mais surprenante de versatilité, et fertile en tubes étranges.
Le mois dernier, Musique Journal avait adoré « Gabadiya », chef-d’œuvre de l’amapiano « dark ». Alors pour commencer la semaine, voici une playlist composée de titres tout aussi sombres et obsédants, issus de ce nouveau sous-genre de la house sud-africaine.
Pop mexico-américaine et fait divers tragique : voici l’histoire de Selena, la reine défunte de la musique tejano.
Aujourd’hui Musique Journal se transforme en Gala meets Faites entrer l’accusé avec l’histoire d’un couple de chanteurs au destin funeste : Nina & Frederik.
Au delà du gros hit « Teardrops », le duo soul des années 80 avait enregistré aux Compass Studios un album un peu oublié en 1988. Un disque dont l’apparente fadeur cache des merveilles d’écriture et de bouleversantes nappes de synthé.
Pour finir la semaine, direction Lima, au Pérou, pour y découvrir la princesse du folklore local, Alicia Delgado, et vous raconter au passages trois histoires pas très drôles mais néanmoins fascinantes.
Aujourd’hui, Maxime Jacob nous parle d’un classique ignoré de la house de Chicago, de l’obscure histoire de son auteur Joe Lewis, et du révisionnisme bisounours qui caractérise certains fans de dance music originelle.
Ce matin, Victor Dermenghem nous parle de la mixtape « Xtassy Reggae » signée en 2000 par deux DJ portoricains, DJ Nelson et DJ Goldy. Un irrésistible carambolage de rythmes dembow et de tubes house gay-friendly qui laisse imaginer une histoire alternative du reggaeton.
Hier il faisait déjà chaud et Guillaume Heuguet, légende vivante de l’âge d’or des audioblogs et accessoirement co-rédac chef de la revue « Audimat », a eu le coup de foudre pour un très beau morceau venu d’un pays dont nous avons déjà parlé voici deux jours. En exclusivité, il nous raconte son aventure.
Mais il est vrai qu’en ce moment la dance music tanzanienne fait des bonnes pointes de vitesse.