En ces derniers jours au sein de la saison intense, votre G.O Ponceau vous propose un mix-résumé toute voile dehors où se croisent chansons fiévreuses vietnamiennes, tubes pour tentes Trigano et égarement post-industriels caniculaires.
Aujourd’hui, Maxime Jacob nous parle d’un classique ignoré de la house de Chicago, de l’obscure histoire de son auteur Joe Lewis, et du révisionnisme bisounours qui caractérise certains fans de dance music originelle.