En ce début de semaine tardif, c’est avec une joie incommensurable que nous vous présentons le second volet de la série « Ecofictions » de Philippe Llewellyn. Un épisode consacré à un album – dont le nom est très justement homonymique d’un livre de Lévi-Strauss – d’Andrew Pekler, où enregistrements de terrain irréels et digitaux se rencontrent pour un résultat troublant.
Philippe Llewelyn ouvre aujourd’hui une série intitulée « ÉCOFICTIONS » autour du concept (complexe) de nature tel que l’explore la musique électronique récente. Il démarre avec Ecologies du Lituanien J.G. Biberkopf, qui a décidé de pas choisir entre nature et culture pour préférer les fondre ensemble, et faire s’entrechoquer mondes digitaux, mécaniques et naturels.
Pop mexico-américaine et fait divers tragique : voici l’histoire de Selena, la reine défunte de la musique tejano.
Aujourd’hui Musique Journal se transforme en Gala meets Faites entrer l’accusé avec l’histoire d’un couple de chanteurs au destin funeste : Nina & Frederik.
Au delà du gros hit « Teardrops », le duo soul des années 80 avait enregistré aux Compass Studios un album un peu oublié en 1988. Un disque dont l’apparente fadeur cache des merveilles d’écriture et de bouleversantes nappes de synthé.
Pour finir la semaine, direction Lima, au Pérou, pour y découvrir la princesse du folklore local, Alicia Delgado, et vous raconter au passages trois histoires pas très drôles mais néanmoins fascinantes.
Aujourd’hui, Maxime Jacob nous parle d’un classique ignoré de la house de Chicago, de l’obscure histoire de son auteur Joe Lewis, et du révisionnisme bisounours qui caractérise certains fans de dance music originelle.