Aurait-on déjà oublié le second âge d’or de l’indie-rock aux cheveux longs, celui qui survint il y a une dizaine d’années ? Loïc Ponceau l’a en tout cas vu rejaillir dans toute sa fougue alors qu’il exhumait de vieux disques durs, sous la forme du premier album des Londoniens de Yuck.