Le néo-jazzeux John Carroll Kirby se débrouille bien mieux en vrai que sur disque
Le son anglo-américain d’I-level est si parfaitement symbiotique qu’il gomme toute trace de ses origines
Loïc Ponceau nous raconte aujourd’hui comment le livre For Space de la géographe britannique Doreen Massey proposait en 2005 une nouvelle et révolutionnaire pensée de l’espace, qui lui a permis entre autres choses de mieux comprendre et sentir le premier album du groupe I-Level, un bijou de sophistifunk qui navigue avec classe dans des eaux situées entre la Sierra-Leone, l’Angleterre, New-York et la Jamaïque.


Ce son si ardent d’une guitare indie début années 10 qui ressurgit d’un disque dur
Aurait-on déjà oublié le second âge d’or de l’indie-rock aux cheveux longs, celui qui survint il y a une dizaine d’années ? Loïc Ponceau l’a en tout cas vu rejaillir dans toute sa fougue alors qu’il exhumait de vieux disques durs, sous la forme du premier album des Londoniens de Yuck.
La Suissesse lyrique qui chantait la fin de la jeunesse et des utopies
Après Claude Le Roux, encore un peu de chanson post-68 qui a connu des hauts et des bads, avec la chanteuse suisse Catherine Derain. Un disque de 1976 qui combine tradition des café-concerts et arrangements psychédéliques moins conviviaux.
