Loïc Ponceau explore les merveilles du zouk jazzy, proggy, voire carrément chic, et en s’immergeant dans l’œuvre du Guadeloupéen Jean-Jacques Gaston propose le néologisme sophisti-zouk.
Queer au point d’échapper à toute catégorie, Amanda Lear a signé entre les années 1990 et 2000 une œuvre tout aussi insituable et furtive, oscillant entre dance, variété et cabaret – et souvent regardée de haut. Mathias Kulpinski, lui, y voit tout un récit ignoré par la « grande » musique électronique.
Chercheuse et journaliste pour l’Abcdr du Son, Manue Ka nous parle de la rappeuse ptite soeur, et de son rapport de trentenaire fan de « Vrai Rap » aux productions troublantes de cette artiste qui la semaine dernière remplissait la Boule Noire à Paris.
Il est sorti voici déjà quatre mois, mais il fallait sans doute laisser s’écouler un peu de temps avant de pouvoir parler de l’album « choke enough » de la Française oklou. C’est Laura Courty qui s’y attelle, alors que le hasard l’a amenée à se promener récemment dans les rues du Poitiers médiéval.
Rachel Mbiga nous raconte sa récente rencontre épiphanique avec le dubstep canal historique, né à peu près au même moment qu’elle, bien avant l’arrivée de Skrillex. Et s’interroge sur la place des personnes queers dans cette scène au départ très hétéro.
Santana, McLaughlin, Billy Cobham, Larry Young aka Khalid Yasin : sur un bootleg de 1973, une dream team prog/fusion/jazz-rock, peu importe l’étiquette, convertit les incroyants dont Loïc Ponceau pensait pourtant faire partie.
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