Le monde est triste et, proportionnellement, le besoin de poésie, élevé. Ainsi, pour subvenir à la demande, souvenons nous : il y a 3 ans, une magicienne du vocable (Maïssa Daoudi) évoquait l’œuvre d’une autre (Chante, de la Belge Claude Lombard). Espérons que cela suffira.