En synchronisation avec un numéro du zine Groupie qui leur est consacré, Musique Journal vous propose aujourd’hui d’écouter les chansons de Yannick et Brandon, duo réunionnais queer qui réussit le rare exploit de faire de la musique à la fois drôle et militante, fun et engagée.
Pas impossible que les membres du nouveau groupe parlementaire RN puissent voter contre les consignes de leur parti s’ils entendaient du shatta avant de rentrer dans l’Assemblée. D’ici là, Philippe Llewellyn nous fait découvrir cette forme martiniquaise et minimaliste du dancehall, à travers deux de ses stars féminines, Maureen et Shannon. Métropolitains : le futur de la pop française est déjà ultra-marin.
Trois Guadeloupéennes buveuses de Hennessy, une ado eighties sur une instru baléarique, de la deep house chantée en français, et un tube oublié de Lord Kossity : Musique Journal vous a concocté un repas copieux à l’approche des fêtes.
Nous n’avons pas oublié le chanteur américain San Serac, partenaire de Para One le temps du projet Slice & Soda, et également auteur de disques solo dont l’un, Ice Age, défendait les valeurs d’une pop électronique funky mais étrangement froide.
Ce producteur a connu la gloire grâce à « Get Down Saturday Night » d’Oliver Cheatham, tube funk que même le Français moyen connaît par cœur . Mais ses meilleurs morceaux ne sont pas forcément ceux qui l’ont propulsé en haut des charts. Maxime Jacob revient en quelques titres sur la carrière du trop méconnu McCord.
Ce matin, nous sommes heureux de donner la parole à Benjamin Caschera, de la Souterraine. Il évoque un peu l’une des dernières sorties de son non-label (disons plateforme), mais nous raconte surtout sa rencontre salutaire avec la musique réunionnaise et en particulier avec le maloya à travers une compilation sortie chez Strut en 2017.
Le label londonien Apron est la centrifugeuse du funk électronique.