En faisant dialoguer un voyage sur l’île de Taquile, le catalogue Ocora et l’écoute d’une compilation consacrée à la mise en son de l’ancestralité andine dans les musiques expérimentales parue en 2021 sur le label péruvien Buh, Maxime Bisson s’interroge sur les rapports qu’entretiennent réel, fiction et imaginaires au sein de la discipline ethnomusicologique.