1986 : Étienne et le schisme pop favori
Le flamenco de Rancapino nous rappelle que la musique populaire n’est pas la pop [archives journal]
En évoquant le chanteur Rancapino, figure méconnue mais pourtant essentielle du flamenco, Maxime Bisson réfléchissait, en avril 2021, à ce qui nous fait distinguer le populaire de la pop, interrogeant l’opposition entre tradition et innovation.
![Musique Journal - Le flamenco de Rancapino nous rappelle que la musique populaire n’est pas la pop [archives journal]](https://musique-journal.fr/wp-content/uploads/2021/04/musique-journal-rancapino-pochette-2.jpg)

Pourquoi la house underground londonienne des années 10 a été aussi ignorée ?
Découverte d’une scène hélas défunte et « invisibilisée » : la « hood house » ou « deep tech », née à Londres au début des années 2010. Un son associé au shuffle, cette danse spectaculaire mais un peu trop working class pour être acceptée dans les gros clubs de la capitale anglaise.
Peut-on aimer Las Ketchup sans être sataniste [archives journal] ?
Été 2021 : Maxime Bisson, notre cher détective hispanophile, cherche à comprendre comment l’un des tubes de son enfance, le trépidant « Aserejé » de Las Ketchup, a pu être entendu par certains auditeurs comme une louange de Belzébuth. Enquête.
![Musique Journal - Peut-on aimer Las Ketchup sans être sataniste [archives journal] ?](https://musique-journal.fr/wp-content/uploads/2021/07/musique-journal-las-ketchup-the-ketchup-song-asereje.jpeg)