Cinq ou six trucs que j’ai appris sur Chantal Sitruk, reine de chœur
La pop vaincra toujours l’art contemporain : le jour où le sound artist Paul DeMarinis a fait un tube
Un morceau vocal imparable qui fait revenir aux balbutiements du langage, suivi d’une démonstration de prononciation anglaise sur la chaîne YouTube du dictionnaire Collins : Musique Journal vous propose aujourd’hui un bon petit programme de khâgneux assorti d’un exercice de dissolution de l’ego.


L’envoyée du Seigneur prêchait par le slow jam
2024 vient certes de démarrer, mais il n’est jamais trop tôt pour absoudre ses pêchés et vivre dans l’amour du Tout-Puissant ! Ann Nesby propose donc d’intercéder auprès du Saint-Père (aka Babyface) en votre faveur, dans un prosélytisme groovy et, ma foi, vraiment pas désagréable.
Enfin une bonne nouvelle : la scène chouine-core ne s’est jamais aussi bien portée !
Le Syndicat des Scorpions est le pseudo d’un nouvel auteur de Musique Journal, qui s’occupe également du label du même nom. Il évoque aujourd’hui un autre label, MIDI Fish, bastion bruxellois d’une pop électronique mélancolique et lo-fi qu’on qualifiera non sans malice de « chouine-core », et dont les cassettes sont d’une insondable beauté.
