Deux bandes originales qui pratiquent l’art de la noirceur impassible [archives journal]
À côté de Lata Mangeshkar, même Stakhanov est une feignasse
Afin de faire grimper le taux de productivité et ce dès l’entame de la semaine, Justine Henry, nouvelle contributrice récemment acquise à la cause du cinéma indien, vous propose une introduction concise à la gigantesque production de la défunte Lata Mangeshkar, chanteuse, doubleuse et surtout inlassable bosseuse dont l’ardeur au travail ferait même pâlir les pontes du MEDEF.


Joie de faire partagée : les écoles Freinet elles, elles ont ça !
Mardi : la lumineuse Aurore Debierre revient en force avec sa bonne vibe et s’enthousiasme pour une compile consacrée à la musique libre comme jamais des classes Freinet qui, si elle ne nous ramènera pas le RSA sans condition, assouvie et comble assurément notre soif d’exploration sonore ludique et collective (ce qui est déjà prodigieux).
Techno unplugged et indus archaïque chez Benjamin Lew
Au départ peu porté vers la musique, l’artiste belge Benjamin Lew a bien fait de changer d’avis au début des années 80. Accompagnant son synthé analogique des instruments plus traditionnels de Marc Hollander ou de Tuxedomoon, il a défini une région sonore inouïe dont lui-même ne semble jamais avoir voulu dessiner la carte.
