Il a avait une voix de velours qui peluche, vendait disques et livres par dizaines de millions, traduisait si passionnément les chansons de Brel qu’il en était devenu un ami : on parle aujourd’hui de Rod McKuen, artiste en son temps trop populaire pour les élites, et aujourd’hui toujours pas porté par une vague de réhabilitation cool.