Un fabuleux disque d’indie-pop irlandaise où toutes les chansons sont pareilles
Dix ans de post-club (2/5)
Victor Dermenghem reprend ce qui devait au départ être un article en deux parties pour en faire une série en cinq épisodes, sur la scène dite « post-club » ou « Internet club ». Il continue de s’y intéresser à des disques un peu perdus en cours de décennie : aujourd’hui, il est question du EP hybrid de l’Américain Sentinl*.


Colonialisme, casino et merengue : bienvenue chez Ansonia
On passe les portes d’un casino caribéen de la fin des années 1950, pour y écouter deux productions du label new-yorkais Ansonia, forcément marquées par le capitalisme sauvage et le racisme éhonté qui définissaient les lieux à l’époque (et qui n’ont pas exactement disparu aujourd’hui).
Plutôt vita rustica que vida loca : les néo-zélandais d’Hysterical Love Project ont tranché
La mise au vert, musicale ou non, est-elle une chimère vaillant la peine d’être poursuivie ? Voilà la question covid-friendly que se pose ce matin Simon Grudet – sang neuf ! – à propos d’Endless Bliss Weekender, premier album du duo Hysterical Love Project. Une œuvre distante et pourtant immédiate, façonnant un trip-hop pastoraliste jouant de ses illusions et dérives.
