Depuis trente ans, le Mexicain Germán Bringas fabrique chez lui et dans son jazz-club, le Café Jazzorca, une musique entre cuivres et synthés, jazz et ambient, Fourth World et racines pré-hispaniques. D’apparence lo-fi, elle révèle un puissant onirisme, qui a fait son effet sur Maxime Bisson. Celui-ci nous parle de l’anthologie que lui a consacré l’an dernier le label Smiling C.