La série Écofictions est maintenant clôturée, et nous vous proposons donc d’arpenter ce triptyque de Philippe Llewellyn en sens inverse ! Retour ce matin sur le deuxième épisode consacré à un album – dont le nom est très justement homonymique d’un livre de Lévi-Strauss – d’Andrew Pekler, où enregistrements de terrain irréels et digitaux se rencontrent pour un résultat troublant.
Aujourd’hui sort le magistral premier album de Donna Candy, Blooming. Pour l’occasion, Hugo et Loïc unissent leurs forces pour aborder cette œuvre transcendante et radicale, ne parlant pas tant de l’avant ou de l’après que d’une contemporanéité forcément brûlante.
En faisant dialoguer un voyage sur l’île de Taquile, le catalogue Ocora et l’écoute d’une compilation consacrée à la mise en son de l’ancestralité andine dans les musiques expérimentales parue en 2021 sur le label péruvien Buh, Maxime Bisson s’interroge sur les rapports qu’entretiennent réel, fiction et imaginaires au sein de la discipline ethnomusicologique.
Flo Spector nous raconte un concert d’Aria, figure majeure du heavy metal russe, et nous fait découvrir la musique et l’histoire de cette formation profondément slave, pas si éloignées de celles des Britanniques d’Iron Maiden.
Trouver son enfant intérieur, pardonner les greluches, faire gonfler les grains de raisins de la colère : Aurore Debret a vécu une expérience viscérale en écoutant l’album Breaking Up de Rural Internet, projet multigenre et multiplex initié par Charlotte Crosby, sorti en février dernier.
World-metal béarnais, blackgaze, résurgences thrash ou Oi!, et même quelques riffs sous dubstep : la France du metal est toujours bien portante grâce à Dirge, Fléau, Grorr, Nature Morte, Intraveineuse et Violence.
Musique Journal n’avait jusqu’ici jamais vraiment parlé de metal. Alors aujourd’hui Rod Glacial règle le problème en recommandant cinq sorties françaises. Ça va du metal hardcore de Worst Doubt au metal synthétique de Perturbator en passant par le BM de Seth et le doom/sludge de Demande à la poussière. En résumé : un vrai confinement dans le confinement.
Si les scènes punk ou new wave de la France des années 80 sont aujourd’hui bien documentées, on connaît moins les groupes hard & heavy qui à la même époque proliféraient dans notre pays. Heureusement, Louis Georget s’en occupe désormais et revient pour nous sur les mérites d’Océan, de Warning, de Speed Queen ou des Satan Jokers.
Le post-rock par anticipation, une spécialité méconnue de la préfecture de la Loire.