Durant la première moitié des années 2000, une partie de la pop britannique fut le théâtre d’une reconfiguration étonnante, l’amenant à faire de la banalité et du malaise propre au kitsch des vertus cardinales. Un paradigme notamment ancré dans un sampling aussi déroutant qu’évident, qu’incarne particulièrement bien l’album ’64-’65 du duo Lemon Jelly, dont nous parle aujourd’hui Mathias Kulpinski.