Jojo Beaussart Space Opera
Quand rien ne fait du bien, il y a l’emo pour le dire [archives journal]
Fin 2020, Rod Glacial concoctait un article sur l’émo nord-américain – cette poignée de groupes originaires de l’Illinois et de ses environs qui, durant la décennie 90, ont défini le son qui allait faire pleurer tout un pan de la jeunesse de ce monde – accompagné d’une playlist conséquente. Nous le ressortons aujourd’hui, en vertu de son indéniable utilité publique (cf. le titre de l’article susmentionné).
![Musique Journal - Quand rien ne fait du bien, il y a l’emo pour le dire [archives journal]](https://musique-journal.fr/wp-content/uploads/2020/10/musique-journal-r-823058-1245377269.jpeg.jpg)

C’est long pour le moral (c’est long, long!)
Ce matin, nous avons le bonheur de poursuivre nos bilans avec un texte d’Olivier Lamm. Cette année, le critique musical de Libération a surtout écouté des disques longs de plusieurs heures, notamment Scanning de Roland Kayn. Cette expérience a bousculé son rapport à l’ensemble de la production musicale – et à tous les disques trop souvent contingents qu’il reçoit chaque jour.
Allo la Terre ? Ici Thaemlitz (oui, la dure à queer) !
C’est le week-end et la fin des vacances de Noël, aka le bon moment pour découvrir es disques qui nouent le cerveau avant de le libérer ! Loïc Ponceau s’intéresse donc ce matin à deux disques proposant une musique électro-acoustique queer qui pense très fort, réalisés la même année par une musicienne autant connue pour son amour de la deep house que du post-structuralisme, Terre Thaemlitz.
