Notre remontée du cours des écofictions, guidée par Philippe Llewellyn, touche à sa fin. En conclusion (qui jadis fut une ouverture), un ensemble de réflexions autour du concept (complexe) de nature tel que l’explore la musique électronique récente, exemplifié ici par un album du Lituanien J.G. Biberkopf, Ecologies, qui a décidé de pas choisir entre nature et culture pour préférer les fondre ensemble, et faire s’entrechoquer mondes digitaux, mécaniques et naturels.