Un titre taquin pour un disque qui l’est beaucoup moins, signé de la turntablist Marina Rosenfeld, réalisé en partie avec la Jamaïcaine Warrior Queen, et qui évoque de fait les fantômes de la musique déjà bien hantée qu’est l’illbient, cet hybride de dub, d’indus et de rap né à New York dans les années 1990.