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Benjamin Leclerc aka Belec nous apprend aujourd’hui que depuis plusieurs années, la jeunesse tahitienne danse au son du Deck, un genre musical né d’une hybridation inattendue du moombahton, croisée aux traditions polynésiennes comme à des influences makina, brostep et antillaises. Nouvelle preuve que l’avant-garde de la dance music française se situe outre-mer.

On n’épuisera sans doute jamais la discographie de Ryuichi Sakamoto, et constater cette infinitude peut rendre heureux. Aujourd’hui Loïc Ponceau s’intéresse à un album lounge-RnB du Japonais, où apparaissent entre autres ses compatriotes Towa Tei et Satoshi Tomiie, ainsi que plusieurs vocalistes aux irrésistibles phrasés rappés-chantés. Le disque parfait pour flâner en ville un samedi de début d’automne. 

Aujourd’hui, laissons-nous toucher au coeur sans médiation par le tendre universalisme franco-nippon de la chanson « Le Pollen » et par l’album du même nom, signé Pierre Barouh et présenté ici par Dan Bensadoun.

En 1996, une anthologie du fameux label Mastercuts défrichait la jungle en guimauve du jazz lite nippon. 

Un disque qui fait l’effet d’un power smoothie si on le consomme au lever du soleil.