Empruntant son nom à notre dernier monarque intronisé, le chanteur Louis Philippe fait s’interroger Mathias Kulpinski sur l’usage et les limites de sa pop orchestrale, où se frôlent volupté et conservatisme. L’occasion de rappeler la vie parallèle de journaliste sportif de ce Normand exilé à Londres.
De Highbury à Shibuya, Louis Philippe n’a jamais abandonné le projet d’une pop juilletiste