Mathias Kulpinski a mené l’enquête sur ce qu’il appelle la « hypersleaze ». Cette microscène pratique la nostalgie critique des années 2000 en détournant l’esthétique « indie sleaze » et plus particulièrement l’électro-pop pour pubards hétéros, circa 2007. Vidant ce corps sonore de de ses organes les plus répugnants, la hypersleaze y bricole à la place quelque chose d’étrangement neuf et neutre.