C’est le matin, les vacances peut-être (ça dépend de votre « zone », n’est-il-pas ?), en tout cas il n’est pas encore midi aux alentours du méridien de Paris : le moment est donc parfait pour se pencher sur un album de (double) guitare ! À l’occasion de la sortie de Discorde de Megabasse, Loïc Ponceau met en miroir cette œuvre grande comme le monde mais pas démesurée avec sa genèse, qu’il a pu contempler (et capter, évidemment) sept années auparavant.