Rap de Memphis des nineties aujourd’hui, avec The Legend Lady J, dont l’album 2 Hot 2 Handle traverse l’ensemble du spectre sudiste de l’époque, nous dit Loïc Ponceau (qui nous a déjà parlé d’une autre Lady J la semaine dernière pour celleux qui suivent !).

Ex-batteur de Public Image Limited et de Killing Joke, Martin Atkins alias Opium Jukebox a voulu faire le mariole au début des 2000 avec ses reprises irrévérencieuses de classiques rock, en version pseudo-indienne. Sauf qu’il a fini par extraire, un peu malgré lui, le beau mystère de ces tubes usés.

Drame de la mélomanie ordinaire : Étienne Menu a flashé sur un morceau entendu dans un magasin, mais il n’a jamais réussi à le retrouver (car il l’avait halluciné).

Anglaise longtemps installée en France et parfaitement bilingue, la chanteuse et actrice Gillian Hills a enregistré, au milieu d’une farandole de rengaines yéyé, une version à tomber par terre d’un des premiers classiques des Zombies. On écoute en boucle ce chef-d’œuvre pop français au texte addictif. 

Sans être complètement méconnue, la chanson « There Was A Time » ne compte pas parmi les tubes certifiés de James Brown, et pourtant c’est l’une de nos préférées de l’inventeur du funk. On l’écoute aujourd’hui dans une dizaine de versions, certaines limite babos, d’autres raides comme du garage, et d’autres encore avec Prince et Michael Jackson qui font les beaux.

On parle aujourd’hui de la formidable série d’Arte Le Monde de demain qui revient sur les débuts du hip-hop en France, dont on a beaucoup aimé les scènes de danse mais aussi les singulières reprises de morceaux d’époque, rappées par les jeunes acteurs et actrices.

Pour commencer la semaine une sélection de merveilleux morceaux disco, house, lovers rock, UK garage et trance qui parlent de tomber amoureux.

Pas de disque aujourd’hui, exceptionnellement, et au lieu de ça une offre d’emploi : Musique Journal a besoin d’aide !

Chanteuse et joueuse de harpe traditionnelle mauritanienne, Tahra Mint Hembara a enregistré à la fin des années 1980 un album superbe et singulier, aux côtés d’une dream-team de jazz-rockeurs français et canadiens. Puis, en 1993, une des chansons du disque a été reprise en toute simplicité par David Bowie, et coproduite par Nile Rodgers de Chic. 

Il y a un peu plus de dix ans nous quittait Peter « Steele » Ratajczyk, chanteur et leader de Type-O-Negative. Rod Glacial revient aujourd’hui sur une pratique chère au groupe metal de Brooklyn : les cover versions de classiques pop ou rock.

En ce 26 décembre, nous vous proposons un dernier post de 2019 avant la trêve, juste histoire de fêter le prénom Etienne et de découvrir son destin musical. 

ABBA, les Stones, The Mamas and The Papas et même Kraftwerk : aucun de ces irresponsables baby-boomers n’a été épargné par une bonne petite version électronique d’un de leurs tubes, au cours des décennies qui ont suivi leur heure de gloire.

Songwriteuse pour la Motown et moitié d’Ashford & Simpson, Valerie Simpson a sorti en 1972 un morceau génial, mais dont les textes ne lui ressemblaient pas du tout. Et puis il est devenu un petit classique en Jamaïque.