De quel amour aime-t-on les morceaux composant la charpente de notre mauvais goût musical ? Cette question, à première vue oxymorique et alambiquée, nous donne ce matin l’occasion de plonger dans les méandres de la dance qui craint du boudin, la vraie, pour en ressortir grandi, peut-être, et ainsi interroger nos taxinomies.